Les villes ont un commerce de rue très dynamique, qui permet aux familles pauvres d’avoir un revenu complémentaire, aux gens sans travail de se débrouiller, au secteur des services d’être extrêmement développé. Par contre, pour le droit du travail et la lutte contre l'exploitation et la précarité, on repassera. Les femmes de la campagne viennent vendre leurs légumes, des fleurs,
voire de la faïence, des ustensiles en plastique ou même des poissons
rouges. On les reconnaît avec leurs chapeaux coniques et leurs
palanches (les vendeuses, pas les poissons rouges), qui détonnent quelque peu dans le paysage urbain de Hanoï ou
HCMV. Elles envoient ce qu'elles gagent chez elles, à la campagne.
Il a
donc des boutiques ambulantes assez incroyables, de l’échoppe à
nourriture ou boissons à la librairie ambulante ou au vélo-magasin. Je ne sais pas encore
quelle est la limite à ce qu'on peut empiler sur une moto ou un vélo !